La sécurité TI est désormais au sommet des préoccupations des universités. À mesure que les pirates raffinent leurs techniques, ils créent de plus en plus de dommages. L’Université d’Ottawa n’est pas à l’abri de ces méfaits. La place prépondérante de l’ordinateur dans nos activités quotidiennes augmente le risque d’attaques qui pourraient faire tomber des renseignements confidentiels ou à diffusion restreinte entre de mauvaises mains. Il est donc essentiel de se doter d’un cadre de réduction des risques pour les TI. C’est pourquoi nous enrichirons dès cette année le train de mesures visant à mieux protéger l’Université contre les tentatives malveillantes.
Une ou plusieurs mesures de protection additionnelles seront mises en place au cours des prochains mois dans divers secteurs prédéterminés de l’Université, selon les besoins. Nous communiquerons avec chaque secteur pour expliquer ce qui sera fait et les changements que ces mesures occasionneront.
Voici quelques-unes des principales mesures prévues :
- Le chiffrement du disque dur protège les fichiers de données, les paramètres d’applications, les exécutables, les applications et le système d’exploitation (pour le personnel non enseignant)
- L’optimisation de la sécurité des postes de travail limite le risque qu’un logiciel malveillant ne s’infiltre sur un ordinateur (pour le personnel non enseignant)
- L’authentification à facteurs multiples (AFM) offre une protection accrue à l’étape de l’authentification et de l’accès aux systèmes et applications (pour tous les employés)
- La gestion des accès à privilèges (GAP) touche principalement les employés des Technologies de l’information, des facultés et des services qui doivent administrer des serveurs (pour le personnel non enseignant)
Dans l’environnement actuel, il est essentiel de réduire les risques systémiques associés aux TI.